Le Palais de la Bourse, situé au bas de la Canebière accueillera dès cet été une nouvelle brasserie. Le siège de la Chambre de commerce et d’industrie Marseille Provence (CCIMP), proposera au rez-de-chaussée, une salle de 265 m² et une terrasse de 240 m² pendant dix ans.
Avec sa future identité « Trendy business », la brasserie de Chambre de commerce, veut devenir un nouvel espace tendance sur le bas de la Canebière. Comprenez que ce lieu aura vocation à accueillir des repas d’affaires ainsi que du grand public dans un décor tendance et détendu. « Nous souhaitons que la brasserie ouvre ses portes pendant l’été, nous n’avons à ce jour pas de date arrêtée », précise Patrick Desbiolles, directeur Business & Développement de la CCIMP, en charge du projet.
La CCIMP a lancé un appel à manifestation d’intérêt pour l’exploitation d’une partie du rez-de-chaussée et de la terrasse du Palais de la Bourse. Le restaurant occupera une salle de 265 m² et un extérieur de 240 m² situé du côté de la place Gabriel Péri, donnant sur le Vieux-Port. « La date limite de dépôt de candidature est fixée au 28 février, puis nous laissons un mois pour rencontrer les candidats et délibérer », précise Patrick Desbiolles.
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Valoriser les circuits courts
Côté cahier des charges, le souhait de la CCIMP est de choisir un lieu qui « se démarquera de l’offre des environs en matière de restauration ». L’exploitation des circuits courts, la valorisation de l’activité locale, le pedigree du candidat ou encore la proposition en matière de redevance seront également des éléments pris en compte.
La CCIMP va prendre en charge la remise aux normes de l’espace (accès pour les personnes à mobilité réduite, armoires électriques…). L’exploitant de la brasserie devra, lui, payer une redevance pour l’utilisation du lieu. « Aujourd’hui ce sont des bureaux et des salles de réunion, de fait c’est intéressant pour nous d’avoir une brasserie pour valoriser le lieu. Cela s’inscrit également dans une volonté de notre président Jean-Luc Chauvin d’ouvrir la chambre aux plus grand nombre », détaille M. Desbiolles.
