Cette semaine dans notre Clap ! politique, place à Sophie Camard. Cheffe de file La France insoumise pour les municipales de 2020, elle a rejoint le Printemps Marseillais et revient sur quatre idées phares qu’elle porte au sein du mouvement.

Comme elle le dit souvent Sophie Camard est une « vieille néo-marseillaise  ». Si elle a posé ses valises dans la cité phocéenne en 2003, elle se sent toujours « assez atypique dans le marigot politique marseillais ». Quelques années plus tard, en 2007, elle milite pour les causes écologiques, « parce que je trouvais que cette ville respirait le besoin d’écologie, et je me dis toujours ça ».

Suivront dix d’engagement dont cinq ans au Conseil régional, où elle préside également la commission « économie, emploie » et le groupe écologistes.

Puis mène la campagne des régionales en 2015 comme tête de liste EELV aux côtés de Jean-Marc Coppola (PCF). « Une première recherche de faire les choses un peu différemment ».

Consultante pour les représentants du personnel, Sophie Camard confie avoir « toujours eu une fibre sociale forte ».

Lorsque Jean-Luc Mélenchon débute sa campagne présidentielle sur « L’avenir en commun », elle se retrouve dans « cette synthèse républicaine, sociale et écologiste », et accepte par la suite de devenir la suppléante du leader de la France insoumise, durant les législatives à Marseille (2017), dans la 4ème circonscription des Bouches-du-Rhône.

Aujourd’hui, cheffe de file insoumise dans le cadre des municipales, elle a rejoint le Mouvement sans précédent, devenu il y a quelques semaines le « Printemps Marseillais ».

Un entretien vidéo réalisé avant les vacances de la Toussaint.

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