Fabrice Alimi, président du Club Immobilier Marseille Provence a présenté ses vœux hier soir. L’occasion d’annoncer la création d’un groupe de réflexion pour faire entendre la voix des acteurs de l’immobilier en vue des prochaines municipales.
La constitution d’un think tank, groupe de discussion et d’échange, a été annoncée ce mardi 8 janvier à Marseille par Fabrice Alimi, président du Club immobilier Marseille Provence. L’entrepreneur a fait appel aux professionnels de l’immobilier mais aussi à toute personne souhaitant participer à « venir réfléchir ensemble pour faire émerger des idées en vue de 2020 » (date des prochaines municipales, NDLR).
Après avoir fustigé la tendance à « l’autoflagellation qui est dans l’ADN des Marseillais », M. Alimi a insisté sur l’importance de construire « une ville tournée vers la mer » et « d’accepter la notion de bazar » au sens de grand marché où l’on trouve de tout. Et de conclure « il faut assumer notre identité méditerranéenne, se regarder tel qu’on est et non pas tel qu’on voudrait être ».
Des premières échéances début février
Dans la foulée, il a été question des 5e Assises de la transition écologique qui se tiendront cette année au MuCEM le 5 février prochain. Ce rendez-vous s’adresse aux professionnels de l’immobilier et l’édition 2019 aura pour thématiques l’utilisation de l’eau dans les constructions, les bâtiments durables, et la biodiversité. Ce rendez-vous sera également l’occasion pour des dirigeants de start-ups de présenter leurs innovations aux acteurs de l’immobilier.
Les 5e assises de la transition écologique du Club de l’immobilier Marseille Provence se tiendront le 5/02 prochain. « Les questions de l’eau, des bâtiments durables et de la biodiversité seront abordées » explique le président Fabrice Alimi pic.twitter.com/owJ0MQ3wjc
— made in marseille (@MadeMarseille) 8 janvier 2019
Quelques jours plus tôt, le 1er février, Fabrice Alimi participera à la création officielle de la Fédération des clubs immobiliers du territoire (FNCIT) à Marseille. Ce groupement doit permettre une meilleure collaboration entre les 11 différents clubs membres mais aussi de donner plus de poids à la parole des acteurs du secteur auprès des décideurs.