Notre engagement quotidien pour vous livrer une information de qualité, vraiment différente des autres médias, loin du buzz, des faits divers et autres articles anxiogènes qui n’apportent aucune autre réponse que la haine et l’incompréhension du monde qui nous entoure, est reconnu par l’association Reporters d’Espoirs !
Made in Marseille produit presque exclusivement du contenu dit « de solution » au quotidien depuis plus d’un an. Un engagement important pour lutter contre la désinformation et le « Marseille bashing ». La rédaction milite depuis sa création pour un journalisme de qualité, réfléchi et conscient des conséquences que les médias ont sur la société. Pour un journalisme qui ne fait pas d’entorse à la déontologie pour mieux se vendre et qui assume pleinement sa vision positive et constructive du monde pour un avenir meilleur.
Une association de premier plan soutenue par les meilleurs journalistes
L’association est parrainée entre autre par Elise Lucet, Nicolas Hulot, Martin Weill, Yann Arthus-Bertrand, Plantu et bien d’autres personnalités des médias et de l’information. Stéphane Hessel était également l’un des soutiens de l’association. La liste ici
L’association Reporters d’Espoirs est à l’origine du journalisme de solutions – également appelé journalisme d’impact ou constructif. Depuis 2004, elle travaille avec les médias à son développement en France, et à l’international avec son réseau de journalistes et d’organisations amies.
En couvrant tant les défis économiques, sociaux, environnementaux que les réponses mises en œuvre pour les résoudre, cette démarche journalistique vise à refléter la complexité du monde, et à diffuser l’envie d’agir.
Une société anxiogène où média rime avec violence n’est pas LA solution !
Nous vivons dans une société où l’information est immédiate et mondialisée. Chaque jour, les événements et drames touchant 7 milliards d’habitants sont connus partout, tout de suite. L’information, si elle ne montre que les trains qui déraillent, contribue à la propagation de la peur et de l’immobilisme.
Mais lorsqu’elle dévoile la face constructive de l’activité humaine, c’est une autre histoire qui commence… Car chaque problème, chaque difficulté, mettent en mouvement des femmes et des hommes qui font face et prennent l’initiative.
En repérant et en relayant les initiatives innovantes et constructives dans les domaines économiques, sociaux et environnementaux, les journalistes et les médias favorisent leur essaimage et peuvent diffuser l’envie d’agir au plus grand nombre.