Pascal Lorne a été élu pour un second mandat à la tête de la French Tech Aix-Marseille Provence Région Sud, avec une équipe renforcée. Objectif : continuer à mettre en œuvre la feuille de route.

« Ce sont les start-up qui font la croissance et le monde de demain. La French Tech, en ces temps troublés, a donc un rôle essentiel à jouer auprès de l’écosystème Tech, assure Pascal Lorne, renouvelé dans ses fonctions à la tête de la French tech Aix-Marseille Région Sud. Nos valeurs fondatrices prennent aujourd’hui tout leur sens : accompagner, créer et faire grandir les start-up d’Aix-Marseille ! C’est notre ambition et notre mobilisation sera totale pour porter haut et fort tous les talents de notre région », poursuit le fondateur de Gojob.

L’équipe qui a pris les commande en 2018 (lire ici), va poursuivre sur sa lancée, en gardant le cap. La stratégie repose sur quatre axes majeurs : booster le financement des start-up, nourrir un vivier de talents, accompagner les start-up à l’international, et « Tech4Good », la promotion d’une technologie durable et inclusive.

Aider à la relance des start-up du territoire

Pour poursuivre cette mission, le bureau a été renforcé, composé à parité de fondateurs de l’association et de nouveaux venus.

Julie Davico-Pahin, la fondatrice de Ombréa, start-up spécialisée dans l’installation d’ombrières connectées, capables de gérer l’ensoleillement au degré près, intègre la nouvelle gouvernance. En sa qualité de présidente déléguée, la cheffe d’entreprise sera particulièrement tournée vers la relation aux start-up du territoire et aux institutions : « Notre collectif sera présent au quotidien pour aider les start-up à se relancer et à grandir, et faire le lien avec les grandes entreprises et les institutions. Pleinement impliquée dans la tech inclusive et durable, je ferai vivre cet axe fort de notre engagement », déclare Julie Davico-Pahin, qui pourra faire bénéficier de son expérience.

La promotion des femmes dans la tech

A ses côtés, Thomas Kerjean, secrétaire général, est en charge de déployer le plan de développement de l’écosystème, avec toujours bien ancrée, cette volonté d’internationalisation : « Notre territoire a un potentiel mondial. Nous pouvons le réaliser en rassemblant nos forces dans des domaines clefs comme la santé, l’éducation ou l’environnement ».

Femme engagée dans l’aventure, la trésorière Marie-Laure Guidi, elle, ne manquera pas de faire la promotion de la place des femmes dans la tech.

> Retrouvez les membres du conseil d’administration ci-dessous.

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