Le cabinet marseillais en plein développement, Jaberson Avocats, se hisse dans le Top 3 du classement Best Workplaces. Cette distinction récompense les sociétés dans lesquelles il fait bon travailler.
Chaque année, Great Place To Work France dévoile son classement très prisé des Best Workplaces, comprenez les entreprises dans lesquelles il fait bon travailler. Un label qui fait référence dans le monde économique, en se basant une enquête anonyme auprès de l’ensemble des collaborateurs. Avec des questions sur la rémunération, le management, la conciliation vie personnelle-vie professionnelle, la liberté d’expression…
Cette année, le cabinet d’avocats Jaberson se hisse à la deuxième place du classement français, toutes entreprises confondues de moins de 50 collaborateurs. « C’est un honneur pour notre équipe », précise Mounir Ayata, directeur marketing et développement.
L’humain au cœur de l’entreprise
Si le succès de ce cabinet spécialisé en droit des affaires, avec des implantations à Marseille, Aix-en-Provence, Avignon, Lyon et Paris, ne se dément pas depuis sa création en 2017, c’est ici la stratégie RH de ses fondateurs et managers qui est mise à l’honneur.
« Cette distinction confirme que notre stratégie RH centrée sur l’humain porte ses fruits, et nous encourage à poursuivre nos efforts pour offrir à chacun des conditions de travail de qualité, favorisant autant l’épanouissement personnel que la performance individuelle et collective », souligne Charles Jamet, président et avocat associé chez Jaberson.
Pour lui, cette culture d’entreprise et cette approche du management a fait la différence. « Nous investissons beaucoup de temps, de réflexion et du budget pour nos managers, qui diffusent ensuite la culture auprès des équipes », poursuit Charles Jamet.
Répondre aux attentes des collaborateurs, notamment de la jeune génération
L’entreprise a misé sur un budget RH afin d’offrir divers avantages à ses collaborateurs : transparence sur la rémunération et les objectifs, sept semaines de congés payés, télétravail illimité, flexibilité du temps de travail et mobilité libre entre les bureaux.
« Récemment, nous avons aussi créé une charte parentalité pour sécuriser les avocats-parents avant et après leur congé », détaille l’avocat. Une façon efficace de casser les codes d’une profession souvent perçue comme traditionnelle.
« Notre volonté est de démontrer qu’un cabinet, en particulier évoluant en droit des affaires, peut être à la fois performant économiquement et humainement épanouissant. Cela est indispensable pour la survie de notre profession qui est en pleine transformation. D’ailleurs, les jeunes avocats expriment plus facilement leurs attentes. Ils ne cherchent plus un simple travail mais souhaitent donner du sens à leur carrière. Alors, on essaie de diffuser notre culture d’entreprise afin d’embarquer le maximum de confrères dans cette dynamique ».
Avec cette nouvelle distinction, il semblerait bien que le cabinet marseillais soit en passe de réussir son pari.
