Pour la 3e année consécutive, l’espace de coworking Group’Union, situé rue Paradis lance sa Coworking Week du 23 au 27 mai 2016. Un événement désormais incontournable pour tous les entrepreneurs de la région marseillaise, rythmé par des ateliers gratuits de formation aux métiers du web et des moments de pure détente avec parties de pétanque, balades en bateaux ou tournois de beach volley !

L’objectif ? Apprendre en s’amusant et tisser un réseau solide avec les entrepreneurs et spécialistes en Provence.

Pour cette 3e édition, l’organisateur Christophe Gauthier, fondateur de Group’Union, a tenu à élargir les horizons « Cette année, nous ne sommes plus le seul lieu organisateur. Nous avons fédéré les espaces de coworking où il fait bon travailler, créer et entreprendre à Marseille mais aussi sur Aix-en-Provence avec des événements en simultané dans les deux villes. L’idée, c’est de mettre en avant tous les coworkers, leurs activités, leurs réussites mais aussi leurs échecs pour donner envie à de nouveaux entrepreneurs de s’investir ! ».

La vidéo de l’édition 2015

Partager son bureau entre freelances : la vraie tendance mondiale du moment

En effet, le coworking est LA tendance du moment en matière d’emploi. Les jeunes, partout dans le monde, ont de plus en plus envie de lancer leurs projets sans passer par la « case salariée » traditionnelle. En témoigne l’engouement pour les espaces de coworking ces dernières années comme on vous l’avait expliqué lors d’un reportage dans les coulisses du coworking marseillais. Avec internet, aujourd’hui, chacun est en mesure de lancer son entreprise. Il suffit d’avoir la bonne idée au bon moment et d’être bien entouré !

Demandez le programme !

La Coworking Week 2016 se déroulera pendant 5 jours du lundi 23 au vendredi 27 mai 2016 à Marseille et à Aix. Au total, dix lieux accueilleront des workshops sur les techniques pour monter son entreprises, des petits-déjeuners thématiques, des tables rondes avec des entrepreneurs à succès, et des after-works conviviaux pour se détendre et faire du réseau au coucher de soleil ! Et le tout sera gratuit.

Les 10 lieux : Group’Union Coworking Marseille, Le Loft, Smack Coworking, Make It Marseille, Le Jardin Montgrand, La Charbonnerie, Cowork’In Aix, Yelloworking, Le repère des 1000 et Rue Piétonne.

L’avantage ? Vous ne devez pas forcément être inscrit dans un de ces lieux ou avoir créé votre entreprise pour participer. Vous pouvez juste avoir l’envie de le faire et venir rencontrer toute cette communauté pour confirmer vos projets.

Parmi les nombreux sujets abordés :

  • l’optimisation du référencement web,
  • l’utilisation des réseaux sociaux pour faire des affaires,
  • l’importance de l’image et de la communication.

Un concours de Pitch co-organisé avec l’accélérateur de Startup Pfactory. Cette année les Fab Lab (ateliers collaboratifs) seront aussi à l’honneur avec la création Numérique, la gravure laser et l’impression 3D.

Les moments forts de la semaine à Marseille

Des moments sérieux…

  • Une table ronde au Jardin Montgrand avec de nombreux témoignages d’entrepreneurs qui ont réussi et qui racontent leur parcours. L’équipe de Made in Marseille sera au rendez-vous pour présenter l’histoire du nouveau média tout en ligne en Provence,
  • Un workshop sur le référencement web,
  • Deux workshops sur la création numérique,
  • La grande finale de la pitch party.

… Et des moments de convivialités

    • Un tournoi de pétanque mardi 24 mai en afterwork,
    • Un apéro du Jardin au Jardin Montgrand en afterwork,
    • Un tournoi de beach volley sur la plage du Prophète jeudi 26 mai en afterwork.

Et pour ceux qui ne pourraient pas se déplacer, suivez les actualités et participez aux événements en direct grâce au Hashtag #CoworkingWeek2016

Plus d’infos sur le programme à Marseille et à Aix en Provence ici

Un commentaire

  1. Le véritable co working est un peu différent de ce qui est décrit, je crois.
    Un de ce que vous appelez « lieux » est, par exemple et de mon point de vue, dans les faits une nouvelle espèce de propriétaire, qui sous-loue des locaux dont il a acquis le doit au bail et qui en arrive même aujourd’hui à sous-louer des sous-locations (sous couvert de contrats de prestations, qui peuvent faire polémique).
    Être entouré de jeunes start-ups ne fait pas de cet intervenant un incubateur ou un business angel, bien loin de là. Le « lieu » en arrive même à réclamer des commissions sur les apports d’affaires réalisés entre « coworkers »…
    Je ne crois pas qu’en dehors de notre ville ce genre de pratiques soit très populaire. Je n’utiliserai pas les termes qui me viennent à l’esprit, mais…
    Le coworking initial consiste en la mutualisation des outils et la synergie des compétences. Ça oui c’est une communauté. Dans d’autres villes, en France et ailleurs, aux US notamment, les co-workers partagent le loyer et élisent un médiateur, indemnisé pour le temps donné à l’ensemble. Il s’agit d’une sorte de cogestion, système idéalisé depuis longtemps et qui fonctionne, sous certaines réserves.
    Sous-louer un (petit) espace non privatif, à prix fixe, de façon précaire (« dégageable » par le fait du proprio en moins de 3 mois, voir moins en utilisant les ressorts des phénomènes de groupe), payer des coms sur certaines affaires au même proprio (que vous appelez « lieu ») et avoir le droit de se payer un tournoi de volley et son sandwich lors d’événements appelés « coworking week » dont il faudra rendre grâce au proprio, ne sont pas, je crois, les véritables arguments en faveur du coworking.
    C’est du « American Pie » de chez nous… 🙂 Sympa, jusqu’à ce qu’il ne soit plus possible d’accepter une certaine infantilisation, d’accepter l’obligation de sans cesse devoir remercier le proprio pour tous les bienfaits qu’il apporte (les exemples sont multiples) et d’accepter la confusion entre communauté d’intérêts et pseudo communauté au service d’un gourou stagiaire… (Au fait, private joke, faut-il donner un pourboire -aussi- au stagiaire gourou…?).
    Le coworking c’est bien autre chose, que j’ai connu avec plaisir quelques petites semaines, jusqu’à ce que l’ego surdimensionné (intrinsèquement et relativement) du proprio en brise l’élan. Je pourrai, à l’occasion d’un prochain échange, relater le positif de mon expérience, jusqu’à ce que le principe de Peters ait surgit une nouvelle fois 🙁
    La bise à Charlotte ( très heureux si j’ai pu l’aider un petit peu, son intelligence m’a en contre-partie rassuré sur l’avenir de nos jeunes élites entrepreneuriales).

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